lundi 28 avril 2014

Easter show: les compétitions de coupage de bois

A l'Easter Show on peut assister à des compétitions dont j'ignorais carrément l'existence.
Plus bouseux euh, terroir tu meurs, j'ai adoré !

1ère compétition à laquelle nous avons assisté: celle des "Wood choppers", les coupeurs de bois, sport originaire de Tasmanie.

Dans cette épreuve (car il y en a plusieurs) dite de "l'Underhand", des fermiers de différents états australiens, s'affrontent en rang d'oignons debout sur leurs rondins, pour arriver à qui cassera le rondin en 2 le plus vite possible à grands coups de hache du haut vers le bas.
En marcel bleu clair le concurrent du New South Wales
Ici 2 concurrents de l'état du Victoria en plein débrieffing
A la fin de la compétition, les haches sont soit recouvertes d'un étui en cuir
Soit rangées bien proprement dans la mallette prévue à cet effet, car tout wood chopper qui se respecte se déplace avec sa batterie de haches.
Mais ça ne s'arrête pas la, car le wood chopping a aussi une version féminine, enfin féminine...
Crédit photo Cathy
La concurrente de Tasmanie
Crédit photo Cathy
Si,si c'est bien une dame
Crédit photo Cathy
En noir la concurrente néo-zélandaise.
Crédit photo Cathy
Et pour finir la compétition de scie.
Sachez que cette épreuve est considérée comme la plus difficile dans ce beau sport qu'est le coupage du bois.
Le compétiteur doit pousser et tirer une scie spécialement conçue pour cette épreuve aussi coupante qu'une lame de rasoir.

Et là aussi je vous offre la version dames...
C'est cette compétitrice néo-zélandaise qui remportera la compétition ce jour-là.
Celle-ci finira dernière (elles étaient environ 6 ou 7 à participer ce jour là)
Et contre toute attente c'est ce petit bout de femme plus fine et élégante que les autres qui terminera 2ème, comme quoi pas besoin d'avoir un physique de camionneur pour savoir coupe du bois.
Ne me manque maintenant plus que les épreuves de scie à deux et de claquage de fouet (c'est pas une blague) auxquelles je n'ai pas pu assister, je vais être obligée d'y retourner l'année prochaine !

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